victimes attentat

(Vendredi 22 août 2003)

Réunion en Libye des représentants des associations des familles des victimes du vol UTA


Réponses de la porte-parole adjointe aux questions du point de presse

(Paris, le 22 août 2003)


Pouvez-vous faire le point sur les négociations à Tripoli avec les familles des victimes du vol UTA, un accord est-il intervenu comme l'espérait tout à l'heure le ministre ?

Là encore, je vous renvoie aux propos du ministre, ce matin sur RTL. Ce que je peux vous confirmer, c'est qu'une réunion se tient actuellement en Libye. Comme je l'avais indiqué hier, des représentants des associations des familles des victimes du vol UTA se sont rendus hier en Libye. Les discussions se poursuivent aujourd'hui. Vous comprendrez qu'à ce stade, je ne souhaite pas faire de commentaire sur le déroulement de ces discussions.

Il n'y a donc pas d'accord pour l'instant ?

Les discussions sont en cours.

Si j'ai bien compris, tout accord issu de ces négociations permettrait à la France de voter la levée des sanctions contre la Libye ?

Je vous renvoie à toutes nos déclarations précédentes, qui sont très claires.

Pas tout à fait, car la France dit toujours qu'un accord équitable lui permettrait de voter la levée des sanctions, mais ' équitable ' pour qui ? Si c'est équitable pour les familles, cela est-il équitable aussi pour la France ?

La France défend le sort des familles victimes de l'attentat. L'objectif est le même. Le gouvernement français soutient les démarches des représentants des familles, pour lesquelles nous souhaitons une solution équitable.

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